À l’ère du numérique, on nous dit dans l’oreillette que certains commencent à faire la tête… À savoir les boîtes aux lettres, post-it, répertoires et tout autre objet à base de papier !

Pourtant, rien ne fait plus plaisir que de recevoir une carte postale d’un proche. À part peut-être, c’est vrai, découvrir sur son bureau une lettre d’amour d’un admirateur secret, et y trouver quelques fautes car il n’y a pas de correcteur orthographique.

C’est pourquoi chez Oberthur, on a décidé de faire de la résistance !

Avant toute chose, il est nécessaire de bien choisir son outil de prédilection : le stylo. Allié de votre quotidien ou prolongement de votre esprit, nombreuses sont les appellations qui le définissent… Et c’est tout à son honneur compte tenu de la place importante qu’il occupe !

On a alors décidé d’éclairer votre lanterne en vous présentant les avantages des différents modes d’écriture suivants :

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Le stylo-plume, priorité à l’élégance

Depuis toujours, le stylo-plume est LA star des écoles primaires ! Alors que nos grands-parents devaient le tremper directement dans l’encre, les plus jeunes ont eu la chance de pouvoir recharger leur stylo à l’infini, et ce, sans se tâcher. D’ailleurs, notre maîtresse de CM2 s’en souvient encore avec la fameuse phrase : « Tu pourrais me dépanner d’une cartouche s’il-te-plaît ? ».

Même s’il reste très souvent utilisé par les écoliers, le stylo-plume a également sa place chez les plus grands. En plus d’être un joli objet qu’on aime offrir et recevoir, il nous redonne goût à l’écriture, et même plus encore…

Votre écriture est digne de celle d’un médecin ? Patience et rigueur seront nécessaires pour apprivoiser la pointe exigeante de la plume, mais rassurez-vous, votre liste de courses ressemblera très vite à un parchemin de Victor Hugo !

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Le stylo-bille, fiabilité et praticité au rendez-vous

Apparu dans les années 1950, le stylo-bille a commencé petit à petit à s’installer dans les cœurs et dans les trousses.

Fini les bavures ! Désormais, plus besoin de souffler sur le papier comme sur les bougies d’un gâteau d’anniversaire. Toutefois, accrochez-vous dans les virages avec son encre un brin huileuse.

Mais le stylo-bille ne s’arrête pas là. Au contraire. Déclinable à souhait, sa durée de vie est sans appel. Avant qu’il ne verse sa dernière goutte, on aura eu le temps de faire un Paris-Rennes à pieds. Mais, entre nous, ce que l’on préfère, au-delà de sa facilité d’utilisation tout-terrain, c’est sa flexibilité. Il est possible de le recycler dans diverses situations telles que le matin dans nos cheveux lorsqu’on n’a « malheureusement » pas eu le temps de se coiffer, ou pour propulser plus loin nos boulettes de papier.

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Le stylo-roller, la crème de la crème

Alors que le stylo-bille et le stylo-plume se livrent un combat sans merci, on en oublierait presque le stylo-roller qui a pourtant plus d’un tour dans son sac ! En effet, malgré son statut de petit nouveau puisqu’il a été créé à la fin des années 1960, il se révèle être le parfait compromis entre élégance et praticité. On l’avoue, on a gardé le meilleur pour la fin !

Souvent confondu mais jamais égalé, le stylo-roller est très facile d’utilisation de par la douceur qu’offre son encre. D’ailleurs, les agendas et les carnets le remercient puisqu’il n’y fait pas de trou et n’y laisse pas de marque. Mention bien également pour son encre effaçable qui peut éviter de nombreuses situations gênantes comme :

  • « Comment ? ‘Plume’ ne s’écrit pas avec deux ‘M’ ? »

Mais ce ne sont pas ses seules qualités. Rechargeable tout comme son aîné le stylo-plume, il lui a également emprunté sa qualité d’écriture.

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On vous avait bien dit qu’il était sous-estimé ! D’ailleurs, méfiez-vous, on nous dit qu’il a tendance à disparaître dans les poches d’un collègue distrait ou connaisseur.

Et vous, quel mode d’écriture préférez-vous ?